sandrine péron

"L'annonce du Printemps"

Les magasins "Le Printemps", ont changé leur identité visuelle. Pour cette  occasion, l'équipe du grand magasin de Paris a souhaité une collaboration pour la création d'une gravure exclusive.
Code couleur imposé : blanc, vert et or
J'ai imaginé cet oiseau posé sur la coupole du bâtiment historique, qui chante au-dessus des toits de Paris.
La gravure "L'annonce du Printemps" est à retrouver en exclusivité au Printemps Haussmann et sur le site du magasin.

 

 

 

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"Parcours 1190" - 2021

Dans le quartier du Forest près de Bruxelles, Samira et Kevin m'ont invitée à présenter mon travail dans leur bel appartement. Sur les murs, mes deux univers se sont dévoilés aux visiteurs pendant le week-end.
Pour l'événement, nous avons imaginé une gravure à 6 mains intitulée "Interstice".
Pendant l'été, mes amis belges sont venus en presqu'île de Crozon (Finistère). "Le cadavre exquis" s'est vite imposé comme idée pour mélanger nos liens, goûts, univers... Un paysage rocheux esquissé par Kévin et nous avions chacun 3 morceaux à travailler. Les 9 petites gravures ont permis de créer la matrice finale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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"Comme une bernique..." - 2018

Pour cet événement, Elsa Alayse et Sandrine Péron ont jugé nécessaire de trouver un lien cohérent, un thème commun pour mêler leurs univers tout en laissant chacune développer sa propre identité.
C’est en se voyant régulièrement pour leurs déjeuners que l’idée est venue. Sandrine Péron racontait ses explorations sous-marines et Elsa Alayse avait en mémoire l’image d’un corps allongé dans l'eau. 
Entre épave, coquillage, corps oubliés, faune et flore, vous êtes invités à plonger dans l'exposition «Comme une bernique...».

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"Ce petit coquillage ramassé sur une plage de Camaret nous invite à la rêverie et au voyage entre la pointe bretonne et les terrils du Nord. Il évoque à la fois volcans, montagnes, plis rocheux et paysages façonnés par la main de l’Homme.
De son vivant, la bernique vit solidement accrochée à son rocher, s’adaptant aux dures conditions de vie rythmées par les marées.
Une fois cette maison vide, la coquille abandonnée vogue au gré des flots, modelant un peu plus sa carapace.
Traces de vie, colonisation de balanes ou de vers marins, attaques de bigorneaux, déformations des stries, telles des traces archéologiques il nous reste à imaginer son existence... «comme une bernique...» entre paysage et coquillage."

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